Teldah MAWARIRE apporte plus de quinze ans d'expérience dans le soutien au développement de la société civile et des médias en Afrique australe, dont sept ans d'expérience dans le journalisme. Elle a une grande expérience du soutien au plaidoyer des défenseurs africains des droits humains, y compris des représentations avec et pour eux dans des forums tels que la Commission africaine des droits de l'homme et des peuples et le Conseil des droits de l'homme des Nations Unies. Elle a une expérience avérée de la défense de l'espace civique, en particulier des droits des journalistes, de la liberté d'expression de la société civile et des droits des femmes. Formatrice chevronnée en matière de médias, elle a été rédactrice et journaliste et a occupé divers rôles dans des salles de presse, notamment à la rédaction et à l'édition. Teldah Mawarire est une chercheuse sur les migrations et a dirigé des travaux de développement des médias dans le domaine des droits humains, notamment les droits des femmes, des populations autochtones et des migrants. Elle dirige un consortium d'ONG en Zambie sur la liberté d'expression. Mme Mawarire est titulaire d'une maîtrise en développement et de diplômes en médias et en sciences de la communication. ​

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1. Quelle est votre citation préférée d'une personne qui vous inspire ? ​
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Nelson Mandela : « La vérité est que nous ne sommes pas encore libres ; nous avons simplement atteint la liberté d'être libre, le droit de ne pas être opprimé. Nous n'avons pas franchi la dernière étape de notre voyage, mais le premier pas d'une route plus longue et encore plus difficile. Car être libre, ce n'est pas simplement se débarrasser de ses chaînes, mais vivre de manière à respecter et à renforcer la liberté des autres. Le véritable test de notre attachement à la liberté ne fait que commencer.» ​

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1. Quelle est la compétence dont vous êtes la plus fière ou que vous souhaitez acquérir ? ​

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La compétence dont je suis la plus fière est l'empathie. Elle m'a donné la capacité d'entendre les autres de leur point de vue et de me mettre à leur place avant de répondre. ​

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1. Quelle est votre vision de la société civile?​
2. ​

Une société civile ouverte aux femmes et aux jeunes, qui s'attaque aux problèmes qui touchent de près les personnes dans leur vie quotidienne.​

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1. Quelle(s) leçon(s) avez-vous tirée(s) d'un échec ?​

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Une subvention m'a appris qu'il est préférable d'écouter les gens et leurs besoins, et non de supposer que je sais ce dont ils ont besoin. Cela signifie qu'il ne faut pas seulement écouter au début d'une subvention ou d'une relation, mais qu'il faut écouter en permanence et vérifier constamment. En effet, l'environnement est en constante évolution et les subventions et les plans doivent être adaptables et flexibles, ce qui ne peut se faire que par une écoute active. ​